Greyfield Land

Greyfield land is a term used in the United States and Canada to describe economically obsolescent, outdated, failing, moribund and/or underutilized real estate assets or land. The term was coined in the early 2000s as a way to describe the sea of empty asphalt that often accompanied these sites, which may also be referred to as “dead malls” or “ghostboxes”.’

Greyfield’ is an ongoing project which investigates the acoustic trace of these spaces; its most recent incarnation is based on sounds recorded in Toronto’s downtown underground pedestrian network. This network, known as the PATH system, is recognized as the world’s largest underground shopping complex. It traverses the entire downtown core and interconnects many notable buildings, including Mies van der Rohe’s austere (but magnificent) Toronto-Dominion Centre complex and Santiago Calatrava’s BCE Place galleria.

The recording sessions for the project occur late at night or on Sundays, when the network is virtually empty. At these times, one hears only the omnipresent hum of the climate control systems and electronic banking and communications networks accompanying the soporific haze of omnipresent muzak. The differences in the various building’s acoustics seems to be accentuated by their emptiness.

My fascination with the PATH network stems from this haunting/haunted atmosphere - this high tech cathedral of branding stripped entirely of its human element..

Though the intent and sound of the pieces may reference sound art, the techniques employed in the creation of the pieces are more akin to that of a dub-style remix. The freshly-recorded sounds are downloaded to the computer, then looped and fed through an array of custom-designed audio-manipulation tools. The recordings are improvised on location as a kind of soundtrack to the space’s apocalyptically empty, surreal cinema.

As an audio-visual performance, ‘greyfield’ incorporates the live visuals of Montréal’s VJ Nokami. The video element of the performance is based on live manipulation of footage shot in the same locations in which the audio was sourced; in most cases, audio and video from the actual location of the performance will be integrated.

Le terrain de Greyfield est un terme utilisé aux États-Unis et au Canada pour décrire des biens immobiliers économiquement obsolètes, périmés, défaillants, moribonds et / ou sous-utilisés. Le terme a été inventé au début des années 2000 comme une façon de décrire la mer d'asphalte vide qui accompagnait souvent ces sites, qui peuvent également être appelés «centres commerciaux morts» ou «caisses fantômes».

Greyfield 'est un projet en cours qui étudie la trace acoustique de ces espaces; Son incarnation la plus récente est basée sur les sons enregistrés dans le réseau piétons souterrain du centre-ville de Toronto. Ce réseau, connu sous le nom de système PATH, est reconnu comme le plus grand complexe commercial souterrain au monde. Il traverse tout le centre-ville et interconnecte de nombreux bâtiments remarquables, y compris le complexe austère (mais magnifique) de Toronto-Dominion Centre de Mies van der Rohe et la galerie BCE Place de Santiago Calatrava.

Les sessions d'enregistrement pour le projet se produisent tard le soir ou le dimanche, lorsque le réseau est virtuellement vide. À ce moment-là, on n'entend que l'omniprésent hum des systèmes de climatisation et des réseaux de banque et de communication électroniques qui accompagnent la brume soporifère du muzak omniprésent. Les différences dans l'acoustique des différents bâtiments semblent être accentuées par leur vide.

Ma fascination pour le réseau PATH provient de cette atmosphère hantée / hantée: cette cathédrale de haute technologie de marque déchirée entièrement de son élément humain.

Bien que l'intention et le son des pièces puissent faire référence à l'art sonore, les techniques employées dans la création des pièces sont plus proches de celles d'un remix de type dub. Les sons fraîchement enregistrés sont téléchargés sur l'ordinateur, puis mis en boucle et alimentés par un éventail d'outils de manipulation audio personnalisés. Les enregistrements sont improvisés sur place comme une sorte de bande sonore du cinéma surréaliste apocalyptiquement vide de l'espace.

En tant que performance audio-visuelle, «Greyfield» intègre les visuels visuels du VJ Nokami de Montréal. L'élément vidéo de la performance est basé sur la manipulation en direct de prise de vue dans les mêmes endroits où l'audio a été généré; Dans la plupart des cas, l'audio et la vidéo de l'emplacement réel de la performance seront intégrés.