Greyfields : wavefields

Greyfields : wavefields

‘greyfields’ is an ongoing audio-visual project investigating the psychogeography of commercial environments.

This latest iteration focuses on capturing - via specially-constructed induction microphones - the electro-magnetic spectra emitted by the informational, security, communication and power infrastructures which pervade the urban grid.

The visual aspect approaches the video image in its raw, base form - as a standing wave pattern of electrical energy, the transduction of light into electrical impulses being more akin to the electromagnetic apparatus of the microphone than the mechanical/chemical process of traditional film or photography.

‘greyfields/wavefields’ seeks to render that which is invisible, inaudible, hidden yet omnipresent, into something which can be contemplated. We are aware of these systems which infuse the physical structures of our metropolis, yet their ephemerality leads us to disregard the vastness, power (and related health implications) of their existence. They are, in many respects, a kind of urban ghost, clustering in and haunting our centres of financial and political dominance. As such, ‘greyfields/wavefields’ can be seen as a continuation/extension of the parapsychological investigations of EVP (’electronic voice phenomenon’ - the search for spirit communications via radio waves and the recording of silent spaces) - an investigation of what lies concealed in the ether.

Greyfields : wavefields

«Greyfields» est un projet audiovisuel en cours d'étude de la psychogéographie des environnements commerciaux.

Cette dernière itération se concentre sur la capture - via des microphones à induction spécialement construits - les spectres électromagnétiques émis par les infrastructures d'information, de sécurité, de communication et de puissance qui imprègnent le réseau urbain.

L'aspect visuel s'approche de l'image vidéo sous sa forme de base brute - en tant que motif d'onde stationnaire d'énergie électrique, la transduction de la lumière en impulsions électriques étant plus proche des appareils électromagnétiques du microphone que le processus mécanique / chimique du film traditionnel ou la photographie.

Les «champs-grenades / champs de vague» cherchent à rendre invisible ce qui est invisible, caché mais omniprésent, en quelque chose qui peut être envisagé. Nous sommes conscients de ces systèmes qui infusent les structures physiques de notre métropole, mais leur éloquence nous conduit à négliger l'immensité, le pouvoir (et les conséquences pour la santé) de leur existence. Ils sont, à bien des égards, une sorte de fantôme urbain, regroupant et hantant nos centres de dominance financière et politique. En tant que tel, les «champs gris» peuvent être considérés comme une continuation / extension des recherches parapsychologiques du EVP («phénomène de la voix électronique» - la recherche de communications spirituelles par ondes radio et l'enregistrement d'espaces silencieux) - une enquête sur ce qui se cache Caché dans l'éther.